Et comme ceci n’est pas une chronique météo 😉 je vais vous parler de la charge de travail qui accable beaucoup de cadres et dirigeants que je coache.
Ces impressions de courir sans cesse, sans rien aboutir vraiment, ces angoisses de deadline intenables, ces to-do infinies…🥵
L’impact peut être écrasant pour la personne, l’équipe et bien sur la performance du collectif.
Je partage volontiers dans ce post quelques solutions expérimentées avec mes clients pour les sortir du cyclone.
✔️ Premier axe, analyser la charge et distinguer charge réelle et charge ressentie.
La charge réelle est constituée par les missions, les objectifs dont vous avez la responsabilité.
La charge ressentie est une sorte de charge réelle augmentée… notamment par l’angoisse, les ruminations, les sombres projections, les “et si tout se passait mal”.
✔️ Une fois, la répartition faite, on agit en finesse selon la charge.
🔜 Alléger la charge ressentie.
C’est d’abord se centrer sur l’instant présent, sans se surcharger des possibles problèmes imaginés pour demain. C’est ensuite réduire les sollicitations incessantes. Et c’est enfin souligner ce qui fonctionne. Vivre en enchaînant les galères et les problèmes est harassant. L’idée est de se connecter au plaisir et à la saveur des succès petits et grands, quotidiens et exceptionnels.
🔜 Alléger la charge réelle.
C’est un axe clé de bon nombre de coaching de cadres et dirigeants.
Les solutions sont dans la capacité à prioriser, négocier[du temps, de la quantité, de la qualité] déléguer et éventuellement renoncer.
Les premières réactions de mes clients sont souvent : ”je n’ai pas le choix, je ne peux rien faire différemment, je ne maîtrise pas”…
🌈 Mon expérience montre que le coaching permet toujours de trouver des marges de manœuvre, de retrouver du plaisir, de la légèreté, une respiration et même de ressentir une brise rafraîchissante en juillet.
Chacun est alors gagnant, mon client, son entreprise, son chiffre.
Et vous? Quelle est votre météo? 🌈